CIEL | "Mes mini-chroniques"

Elle étala sa serviette sur le sable chaud, déposa son sac, n’en sortit même pas son livre et s’étendit goulument sur le dos, main en visière pour pouvoir garder les yeux ouverts sur le ciel, la belle lumière, les rares cerf-volants, les petits nuages blancs qui poudraient le ciel avec la parcimonie qui indiquait clairement que le temps magnifique était installé pour la journée, donnant à la jeune femme une impression de temps arrêté, de langueur possible sans limite, sans contrainte à laquelle elle décida de s’adonner.

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